Sérénité

Du calme

C’est le premier jour du reste de ma vie, alors pourquoi s’énerver? Le reste c’est beaucoup non? Le premier jour c’est le début de tout, n’est-ce pas ?

À chaque matin, le compteur se remets à zéro et je peux choisir : qu’est-ce que j’ai envie de vivre ? La paix ? Le ressentiment? Qu’est-ce qui me tente vraiment? J’ai toujours le choix, je n’ai qu’à décider de quelle couleur sera cette journée: pastel, jaune vivifiant ou bien beige plate !!

Et ce qui est encore plus merveilleux, je peux recommencer ma journée à n’importe quel moment, j’ai le droit de me reprendre…

Douceur

Rester calme et posé en toutes circonstances, m’exprimer plus doucement, parler un peu plus bas, créer un climat plein de douceur.

C’est très correct de s’éloigner des personnes en colère ou agressive, parce que ça peut être aussi contagieux qu’une gastro ces émotions là!!

Si mon amoureux a un gros rhume, je vais continuer de l’aimer, mais je passerai pas la soirée collé collé hein? Même chose si il est contaminé par la mauvaise humeur, je vais juste m’éloigner un peu… et je cultive ma sérénité, un médicament tout à fait naturel, les bienfaits ne sont pas toujours immédiats, mais comme avec n’importe quel antibiotique, je respecte la posologie, c’est-à-dire : laisser au temps le temps de faire son temps, et ça passe.

Quiétude

Ma tranquillité d’esprit et ma paix intérieure relève de MA responsabilité, pas celle des autres, heureusement…

Et j’y tiens à ma sérénité, je la cultive chaque jour, mais il m’arrive d’attraper moi aussi, trop souvent, le syndrome de : ma vie c’est d’la marde…

Mais je fini toujours par m’en remettre, parfois juste en laissant passer… comme un jour de pluie, ça vient juste me rappeler à quel point la sérénité me fait du bien… comme le soleil, cette grosse boule de chaleur qui brille pour tout le monde, gratuitement, bon ou méchant, sans distinction de race, de classe sociale… il est partout, tout l’temps!

Être dépendante des autres, c’est leur confier mon bonheur, ma joie de vivre et ma bonne humeur… c’est très risqué.

Vivre et co-habiter avec les gens demande du lâcher prise et de l’acceptation, et pour y arriver je pratique le détachement; j’apprends à faire la différence entre ce qui m’appartient ou non.

Garder l’esprit ouvert , balayer mon côté de rue , me ramène à l’essentiel : préserver ma sérénité !

J’ai passé une belle journée aujourd’hui, avec quelques rafales de vent, un peu de froideur, sur un fond de ciel bleu…

Manou 🦋

Pour atteindre la sérénité, il ne faut craindre ni le chômage, ni la pauvreté, ni la mort…

– Ostad Elahi

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