Ç’est beau, ça sent bon, le vent me joue une charmante mélodie…
Le temps de la moisson, et j’ai dépassé la moitié de ma vie…
J’attends sans plus rien attendre ce que sera la fin du chemin…
L’impatience de la jeunesse me laisse enfin respirer…
Les tourments des passions me donnent enfin un répit…
Je t’ai espéré tout l’été, te voilà enfin, sérénité…
Colle-toi à moi, accueillons l’hiver, laissons le printemps revenir sans nous troubler…
